[Les sanglots longs
Des violons
De l'automne
Blessent mon coeur
D'une langueur
Monotone]*
Qui s'effondreront
Dans les flots d'eau.
L'amour est comme
Une chemin d'automne
Qui se forme
Et qui étonne
Cette flamme incroyable
Qui nous irradie
Est insoutenable
Et forme une mélodie
Notre coeur bat plus fort
Sans éclater du moins
Il s'exprime dans le corps
Tout comme le rhume des foins
* Chanson d'automne de Verlaine
écrit en 2000-2001
Il faut être léger comme un l'oiseau et non comme la plume. La plume est certes plus légère que l'oiseau mais elle ne contrôle pas ses mouvements. Alors que l'oiseau peut planer sans trop de problèmes.
Parfois, nous sommes comme les oiseaux, nous surfons sur les vagues de la vie, de la mort et de l'air ! Mais nous ne pouvons pas tout contrôler, par l'exemple l'amour est imprévisible et naturel, et la haine est instinctive. Certaines fois, il vaut mieux ne rien contrôler, car si on le faisait, on ne voudrait plus vivre et la vie n'aurait point de surprise et de sens.
Si on ne contrôle pas nos gestes, on peut facilement se faire attraper par plus rusé que nous. Et la prochaine fois que quelqu'un voudra nous faire du mal, on sera prêt à réagir. Les oiseaux en planant ne voient pas les fils électriques, mais s'ils reçoivent un fort choc, ils ne meurent pas forcément, ils peuvent se relever et continuer leur route parmi les champs et les montagnes.
S'ils rencontrent d'autres fils, ils feront plus attention donc ils ne se feront plus avoir.
En comparant l'oiseau et l'homme, on peut voir qu'il y a des similitudes alors que la plume pourrait plutôt se comparer avec la vie.
L'oiseau est l'homme sont naturels, vont où bon leur semblent et ont des responsabilités.
La plume et la vie sont incontrôlables et durent moins longtemps que les deux autres.
En conclusion, l'oiseau est libre de ses actes, alors que la plume est portée par le vent sans pouvoir se déplacer à sa guise. Donc soyons des oiseaux dans le ciel de la vie.
écrit en 2000-2001
Igor était entrain de s'assoupir devant le feu de cheminée ; ses cheveux ébouriffés montraient qu'il ne s'était pas coiffer le matin-même ; sa main semblait sur le point de lâcher le roman policier qu'il venait de commencer, ses yeux étaient fermés mais avaient un mouvement lent, les glaçons fondaient lentement dans le verre de whisky posé devant lui, et la voix rauque de sa chanteuse préférée remplissait la pièce.
Ses jambes étaient croisées, ses souliers étaient sur le sol et son visage était d'un calme inébranlable. Soudain la sonnette retentit, Igor sursauta, se leva d'un bond, les plis de son pantalon s'effacèrent et se précipita vers la porte.
Son battait à une vitesse surprenante comme s'il allait éclater, une angoisse terrible vint : Fallait-il qu'il ouvre ? ou non ? Il se décida, appuya sur la poignée et poussa un cri de stupéfaction : devant lui se tenait la chanteuse qu'il écoutait ! La jeune femme lui sourit et lui demanda s'il pouvait la cacher car des fans la harcelaient. Il accepta et la fit entrer aimablement. La jeune artiste avait des yeux émeraude et des lèvres fines. Elle portait une robe de soirée faite en tissu de grande qualité. La diva commençait à avoir le visage crispé, elle avait sûrement dû courir pour échapper à ses admirateurs.
La belle resta toute la nuit et à l'aube quand Igor se réveilla l'idole des jeunes n'était plus là. Où cette merveille de la nature avait bien pu aller ? Igor passa la journée à penser à cette rencontre inattendue.
Depuis il ne cesse d'écouter ses chansons, à rêver d'elle et à attendre son retour.
écrit en 2000-2001
Dans la vie, on a toujours le choix
D'aller de l'avant ou pas
De choisir le chemin le plus court ou pas
De s'écouter ou pas
De prendre le chemin de gauche ou droite
Ou de laisser faire la vie...
De ne plus décider
et de suivre son instinct et son intuition...
©Alistouille
Terre sacrée,
On te bafoue, on te blesse
Mais tu es toujours là
Avec ta bienveillance
Et ton sourire
Désolé pour tout le mal qu'on te fait
Pardonne-nous de ne pas comprendre
Le chemin qu'il nous reste à traverser
Merci pour toute la bonté dont tu nous fais preuve
Et Je t'aime pour tout, toi, ma Terre nourricière.
Terre sacrée,
Tu nous fais jouir de tes bienfaits
Tu nous aides quoi qu'il arrive
Et tu seras toujours là
Même quand nous ne serons plus que poussière
©Alistouille
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